Etre auto-satisfait, ce n’est sans doute pas bien du tout, mais quand on rabâche les mêmes évidences depuis des années et que la réalité rattrape les annonces faites, on se dit content d’avoir eu raison… même si c’est bien dommage ! Pour ma part, depuis… quelques décennies, je n’ai rien inventé mais seulement transmis les savoirs de nombreux chercheurs, en étayant mes dires avec une expérience professionnelle. Alors permettez-moi quelques rappels en me répétant encore, avec une certaine hargne, pour insister sur les dangers du déni. Voici quelques phrases parmi les plus significatives, extraites des 800 chroniques de ce blog :
As-tu vu Tuvalu
- 2007, il y a 16 ans : première chronique de ce blog : As-tu vu Tuvalu ?, extrait : Pourtant, c’est tout de suite que des mesures s’imposent face à ces risques. Pour contribuer au ralentissement du réchauffement climatique, il faut réduire de façon drastique la consommation de produits pétroliers, en particulier dans les transports…
- 2008 : A quand les 200 dollars ?
La progression démographique et le développement technologique nous ont amenés, lentement d’abord puis rapidement au cours du 20ème siècle, là où nous en sommes : la nécessité de choisir entre réduire nos consommations et survivre ou continuer sur notre lancée et … disparaître.
Certes, depuis quelques années, nombre de dirigeants et de citoyens ont pris conscience des enjeux planétaires en matière de modification du climat. Mais le défi est devant nous : c’est dans la décennie qui vient que tout se joue !
- 2009 : Qu’est-ce qu’on attend ?
Allons-nous continuer, comme les passagers du Titanic, à attendre le choc pour être convaincus qu’il y avait bien un iceberg devant nous ? Il nous appartient de choisir entre le monde en crise actuel et un nouveau projet de société.
De toute part les scientifiques alertent les politiques sur les conséquences déjà constatées du réchauffement : augmentation du nombre de cyclones, tornades, incendies de forêts, inondations, sécheresses et tempêtes de neige qui frappent différentes zones de la planète.
- 2011 : Le réchauffement va-t-il nous refroidir ?
Nous devons donc nous attendre, en France aussi, à connaître le "toujours plus" : plus chaud, plus froid, plus sec, plus humide, tout cela dans un relatif désordre...
Je ne suis pas à l’origine de ces informations qui émanent de scientifiques spécialisés dans les disciplines liées au climat , je n’ai fait que les diffuser, en tant que « lanceur d’alerte ». Maintenant nous en sommes là… où c’était annoncé !