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  • : Le blog de Michel Lerond
  • : Libre opinion sur les questions d'actualité en environnement et développement soutenable
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  • Michel Lerond
  • Ecologue et essayiste. Dans notre pratique professionnelle, nous avons pu contribuer, notamment, à un meilleur accès à l’information sur l'environnement.

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17 septembre 2018 1 17 /09 /septembre /2018 18:04

Les prévisions

Les prévisions que l’on peut faire actuellement ne sont pas forcément gaies, mais pas désespérées si nous réagissons à temps… :

  • On peut prévoir des records de températures dans le futur et des épisodes caniculaires plus fréquents et plus longs. Il faut s’attendre à des écarts grandissants entre zones humides et zones sèches. Ces changements climatiques génèrent une augmentation de la fréquence et de l’intensité des phénomènes météorologiques extrêmes, tels que sécheresses, inondations, typhons ou cyclones.
  • En France, il faut se préparer pour 2050 à des températures de 40° à Paris ou 43° à Nîmes… Selon Météo-France, les vagues de chaleur devraient être deux fois plus fréquentes d’ici 2050. Inversement, la perturbation du Gulf Stream pourrait bien entraîner des épisodes de froid polaire en Europe.
  • La France a connu 8 vagues de chaleur entre 1947 et 1982, puis 30 depuis 1983 ! Depuis quelques années ces épisodes sont plus précoces ou plus tardifs, ce qui complexifie encore un peu plus la situation.
  • Les modifications climatiques pourraient bien avoir un impact sanitaire du fait de l’accroissement de l’incidence des maladies sous l’effet des vagues de chaleur et inondations. Ces évolutions peuvent, en effet, allonger la période de transmission des maladies, notamment celles propagées par les moustiques, comme nous l’avons constaté, modestement encore, en 2018. On peut également prévoir un développement des maladies diarrhéiques provoquées par la contamination de l’eau.
  • Les populations les plus pauvres seront les plus menacées, du fait des évolutions climatiques et de la flambée des prix qui va les accompagner. En Afrique, cette situation pourrait devenir cruciale.
  • Un monde plus chaud est potentiellement plus conflictuel, ce que le Conseil de Sécurité de l’ONU a enfin considéré en juillet 2018…
  • La biodiversité sera également concernée à raison de la disparition d’une espèce sur six d’ici quelques années… N’oublions pas combien nous sommes dépendants de la biodiversité pour notre alimentation notamment.

Ces prévisions ne sont pas très roses… mais il est encore temps d’agir, vite !

A suivre : que vais-je faire ?

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10 septembre 2018 1 10 /09 /septembre /2018 18:48

Les conséquences

Les conséquences de ce dérèglement climatique sont multiples :

  • Depuis 50 ans, le niveau des océans s’est élevé de 10 cm et ce phénomène s’accélère entraînant de graves menaces sur des îles dont on prévoit la disparition de 10 à 20 000 d’ici la fin du siècle. Plus spectaculaire peut être, des villes comme Miami, Tokyo ou Amsterdam pourraient être bientôt envahies par les eaux.
  • Une conséquence dramatique est l’augmentation des migrations climatiques. Entre 2011 et 2014, on a recensé 250 millions de déplacés climatiques dans le monde…
  • Dès 2007 le GIEC mettait en garde contre le risque de blanchiment généralisé des coraux. Nous y voilà avec de fortes menaces sur le plus grand récif corallien du monde, la Grande Barrière australienne, où l’augmentation des températures et l’acidification des océans mettent en péril 400 espèces de coraux, 1 500 espèces de poissons et 4 000 espèces de mollusques… En 2012, le site avait déjà perdu la moitié de ses prairies coralliennes et la dégradation  se poursuit.
  • Les ouragans puisent leurs forces de l’énergie dégagée par les océans, ce qui pourrait augmenter leur intensité et leur fréquence à l’avenir et que l’on commence à constater.
  • La sécheresse qui a sévit en de nombreux endroits sur la planète en 2018, a entraîné une baisse des rendements agricoles, mais aussi des feux de forêts comme au nord de l’Europe avec 80 000 ha brûlés ou en Californie.
  • Ce sont les populations les plus pauvres qui sont menacées par les mauvaises récoltes causées par les sécheresses, en particulier en Afrique.
  • Ces changements climatiques ont aussi un impact sur la biodiversité en générant des déplacements d’espèces ou leur disparition.

 

Sur la base de ces conséquences actuelles, quelles prévisions peut-on faire pour l’avenir et en particulier pour l’avenir proche ?

 

A suivre : les prévisions, que vais-je faire ?

 

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3 septembre 2018 1 03 /09 /septembre /2018 17:02
Les faits

     Le dérèglement climatique n’est plus perçu comme un fantasme ou une malédiction, il est avéré et admis par la majorité des gens, avec l’idée que les activités humaines sont à l’origine de ce phénomène. Mais pour autant prend-on les décisions qu’il conviendrait ? Certes non et ce n’est pas faute d’avoir alerté à ce sujet. Pour notre part modestement, depuis onze ans sur ce blog, nous avons publié 30 chroniques à ce sujet (dont 6 en 2009 et 6 en 2017).

     Pour ne pas se répéter indéfiniment, résumons en reprenant les choses par ordre : voyons d’abord quels sont les faits avérés maintenant.

  • Depuis 2011 le niveau de la mer augmente par rapport à l’année précédente. Cette élévation varie sur la planète en fonction des changements dans la circulation des vents.
  • Les températures des océans continuent de croître et leur acidification touche les mollusques et les coraux (95 % sont morts en certains endroits de la grande barrière de Corail australienne).
  • Depuis 2017, nous sommes confrontés aux plus fortes concentrations de gaz à effet de serre jamais enregistrées.
  • Le nombre de cyclones tropicaux a légèrement augmenté en 2017.
  • Sur terre, les températures moyennes croissent sans cesse depuis ces dernières années. En 2018, des records ont été battus partout dans l’hémisphère nord (près de 34° en Norvège en juillet 2018), y compris dans les régions polaires, avec plus de 30° au-delà du cercle polaire ! Le record saharien a été battu avec 51,3° en juillet. Record mondial absolu de 52,9° dans la vallée de la mort en Californie. 
  • Il en est de même aux pôles où les couvertures de glace se sont réduites de l’ordre de 25 % ces dernières années.
  • Avec la hausse des températures, les sols séquestrent moins le carbone, ce qui renforce le phénomène.
  • Fin août 2018, au nord du Groenland, la hausse des températures a ouvert des espaces d’eau libre au sein de la glace la plus vieille et la plus épaisse de l’Arctique.

     Allons-nous rester indéfiniment inertes, ou quasiment, face à ce désastre à venir ? Voyons d’abord quelles sont les conséquences déjà connues et les prévisions de ce qui nous attend…

A suivre : les conséquences, les prévisions, que vais-je faire ?

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28 août 2018 2 28 /08 /août /2018 14:00

     Le départ de Nicolas Hulot du gouvernement est surtout le signe d’une grave crise environnementale, plus qu’une simple crise politique. C’est le divorce effectif entre la société et notre environnement… L’espoir que suscitait le ministre s’effondre. Pour notre part, nous avons formulé de façon synthétique notre diagnostic et nos propositions pour des mesures drastiques et urgentes dans le livre « Faire passer le message ».

     Il s’agit dans ce message, à l’issue d’une vie professionnelle, de faire le bilan, de tirer les conclusions de cette expérience et les partager. Mon objectif est simplement de formuler des orientations possibles pour le climat, la biodiversité, l’énergie ou l’économie, en gardant l’humain comme priorité absolue, et cela bien au-delà des frontières nationales. C’est ce que les psychologues appellent résilience, la capacité de réagir aux traumatismes violents, les surmonter et en tirer parti pour se dépasser.

 

Faire passer le message - Persée, Paris, 2018.- 158 p.-14€20

     A se procurer dès maintenant dans toutes les bonnes librairies.

     Ou à défaut, commander sur internet :

     Signature à la Librairie Autres Rivages de Buchy (76) le samedi 27 octobre de 15 à 19h.

Premiers avis :

■ Bernard Boullard, professeur émérite : « (votre livre) transpire de sincérité, de sensibilité… Il hurle votre inquiétude devant le comportement de l’Homme face à la nature. Il regorge de judicieuses suggestions ».

■ Anne Rubinstein, cheffe de cabinet de Nicolas Hulot : « Le ministre a pris connaissance de ce livre avec intérêt… Il vous félicite pour votre engagement et pour votre contribution ».

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27 août 2018 1 27 /08 /août /2018 18:06

     Les préoccupations liées à l’environnement ont suscité la création de nombreux organismes, depuis longtemps. Du fait de leur multiplicité et parfois des redondances entre eux, la plupart sont méconnus du grand public. Il en est un pourtant qui concerne largement tout un chacun, c’est le CAUE.

     Les CAUE (Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement) ont été créés par la loi sur l’architecture du 3 janvier 1977, il y a donc 41 ans, déjà ! Ce sont des associations, organismes de concertation et de promotion de la qualité de l’architecture, urbanisme et environnement au niveau départemental. Ce sont donc des services publics d’intérêt général.

     Les CAUE ont pour mission de conseiller, former et informer aussi bien à propos de planification territoriale que de construction d’une maison, avec pour objectif la qualité et la pédagogie et en prenant en compte la gestion des ressources naturelles ou les économies d’énergie, entre autres. Pour cela les CAUE diffusent l’information, proposent des formations et invitent à la participation du public. Ce sont donc des centres de ressources pour tous publics, des lieux de rencontres et au final une aide à la décision, tant pour les élus, que les professionnels ou les particuliers.

     Il existe déjà 93 CAUE en France, regroupés au niveau régional en 11 groupements. Ils emploient 1 300 professionnels (architectes, urbanistes, paysagistes, écologues, conseillers énergie, etc.) et ont déjà accompagné près de 10 000 collectivités territoriales.

     Un des plus récents CAUE est celui de la Vienne (https://www.caue86.fr/), créé en juin 2017 à Poitiers. Il propose des ateliers dès septembre 2018 sur « penser son jardin » ou des lectures de paysage, des visites de sites et encore des formations pour les animateurs péri-scolaires.

     Un des plus anciens est le CAUE de la Seine-Maritime (http://www.caue76.org/) qui vient de fêter ses 40 ans. Il a donc derrière lui une montagne d’actions en tous genres !

     N’hésitez donc pas à consulter les CAUE, sachant qu’ils proposent le plus souvent des permanences locales pour un premier contact.

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21 août 2018 2 21 /08 /août /2018 09:25

     J’ai toujours été fasciné par la relation entre l’homme et la nature.
Pourquoi cette relation est-elle si souvent antagoniste, conflictuelle, pour en arriver à la ligne de rupture devant laquelle nous nous trouvons aujourd’hui ?

     Ce questionnement a accompagné ma vie professionnelle d’écologue et consultant en environnement.

     Le monde, après avoir été défait, doit être refait ! Le véritable « lanceur d’alertes » que j’ai été ouvre ici des pistes pour un message d’espoir auprès du grand public.

     Ce message n’est pas un programme de gouvernement, encore moins un dogme. Il s’agit, à l’issue d’une vie professionnelle, de faire le bilan, de tirer les conclusions de cette expérience et de les partager. Mon objectif est simplement de formuler des orientations possibles pour le climat, la biodiversité, l’énergie ou l’économie, en gardant l’humain comme priorité absolue, et cela bien au-delà des frontières nationales.

     C’est ce que les psychologues appellent résilience, la capacité de réagir aux  traumatismes violents, les surmonter et en tirer parti pour les dépasser.

Faire passer le message - Persée, Paris, 2018.- 158 p. - 14€20

A commander sur internet :

Ou acheter dès maintenant dans toutes les bonnes librairies.

Un premier avis :

  • M. le professeur émérite Bernard Boullard : « (votre livre) transpire de sincérité, de sensibilité. Il est riche de mille facettes qui situent excellemment l’homme et son œuvre. Il clame votre attachement à la nature. Il hurle (et le mot est de circonstance) votre inquiétude devant le comportement de l’Homme face à la nature. Il regorge de judicieuses suggestions ».

 

 

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30 juillet 2018 1 30 /07 /juillet /2018 10:18
Il est paru : "Faire passer le message" !

     J’ai toujours été fasciné par la relation entre l’homme et la nature.
Pourquoi cette relation est-elle si souvent antagoniste, conflictuelle, pour en arriver à la ligne de rupture devant laquelle nous nous trouvons aujourd’hui ?

     Ce questionnement a accompagné ma vie professionnelle d’écologue et consultant en environnement.
     Le monde, après avoir été défait, doit être refait !
     Le véritable « lanceur d’alertes » que j’ai été ouvre ici des pistes pour un message d’espoir auprès du grand public.
     Ce message n’est pas un programme de gouvernement, encore moins un dogme. Il s’agit, à l’issue d’une vie professionnelle, de faire le bilan, de tirer les conclusions de cette expérience et de les partager. Mon objectif est simplement de formuler des orientations possibles pour le climat, la biodiversité, l’énergie ou l’économie, en gardant l’humain comme priorité absolue, et cela bien au-delà des frontières nationales.
     C’est ce que les psychologues appellent résilience, la capacité de réagir aux traumatismes violents, les surmonter et en tirer parti pour se dépasser.

    Michel Lerond

Faire passer le message - Persée, Paris, 2018.- 158 p. – 14€20

 

A commander sur internet :

Ou réserver dès maintenant dans toutes les bonnes librairies.

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24 juillet 2018 2 24 /07 /juillet /2018 16:29
Cet été, vous pourrez "Faire passer le message" !

     J’ai toujours été fasciné par la relation entre l’homme et la nature.
Pourquoi cette relation est-elle si souvent antagoniste, conflictuelle, pour en arriver à la ligne de rupture devant laquelle nous nous trouvons aujourd’hui ?

     Ce questionnement a accompagné ma vie professionnelle d’écologue et consultant en environnement.
     Le monde, après avoir été défait, doit être refait !
     Le véritable « lanceur d’alertes » que j’ai été ouvre ici des pistes pour un message d’espoir auprès du grand public.

     Ce message n’est pas un programme de gouvernement, encore moins un dogme. Il s’agit, à l’issue d’une vie professionnelle, de faire le bilan, de tirer les conclusions de cette expérience et de les partager. Mon objectif est simplement de formuler des orientations possibles pour le climat, la biodiversité, l’énergie ou l’économie, en gardant l’humain comme priorité absolue, et cela bien au-delà des frontières nationales.
     C’est ce que les psychologues appellent résilience, la capacité de réagir aux traumatismes violents, les surmonter et en tirer parti pour se dépasser.

 Michel Lerond

Faire passer le message - Persée, Paris, 2018.- 158 p.

http://www.editions-persee.fr/catalogue/ - 14€20

 

A paraître demain 25 juillet et réserver dès maintenant dans toutes les bonnes librairies.

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22 juillet 2018 7 22 /07 /juillet /2018 17:32

Organiser la société planétaire, voilà bien l’une des problématiques essentielles que vous pourrez retrouver dans Faire passer le message l’ouvrage qui paraît dans trois jours :

 

Faire passer le message

Persée, Paris, 2018.- 158 p.

http://www.editions-persee.fr/catalogue/ - 14€20

 

A la fois biographie et essai, ce texte comporte deux parties :

     - la biographie proprement dite résume mon parcours de 50 ans dans le domaine de l'environnement.

     - le message lui, est une synthèse qui a pour but d'esquisser selon quelques grands thèmes (climat, biodiversité, ressources, économie et gouvernance) une vision du monde à reconstruire.

A paraître le 25 juillet, à se procurer dès maintenant dans toutes les bonnes librairies.

 

Extrait :

Le vivre ensemble suppose des évolutions, sachant que notre société n’est pas forcément aussi égoïste qu’on le prétend, les exemples de solidarité sont nombreux. C’est dans cet esprit que nous avons évoqué la création d’un véritable service civique. Restent à définir la durée et les modalités de ce service, mais on peut imaginer que quelques semaines suffisent pour que ce temps citoyen permette de constituer une force d’intervention disponible lors des catastrophes naturelles (séismes, inondations, tempêtes, incendies de forêts, etc.) en Europe d’abord et sur tout théâtre planétaire où l’urgence le demande. Ce service pour tous les jeunes, garçons et filles, sans aucune dispense, permettrait aussi de retisser des liens dans une société qui perd le sens du collectif. Ce temps citoyen pourrait être utilisé également à compléter la formation de base non apportée par l’Ecole : apprentissage des gestes qui sauvent, de la conduite automobile, etc. Ainsi structurée, la solidarité y perdrait en spontanéité et en élan médiatique, mais y gagnerait incontestablement en efficacité. La solidarité pourrait alors s’installer dans une société organisée et majeure où chacun se sent responsable et acteur d’un futur commun, plutôt qu’un ressort qui réagit impulsivement aux coups de sifflets des médias.

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13 juillet 2018 5 13 /07 /juillet /2018 17:28

     Inventer une social-économie, voilà bien l’une des problématiques essentielles que vous pourrez retrouver dans Faire passer le message l’ouvrage à paraître dans quelques jours :

 

 

Faire passer le message

Persée, Paris, 2018.- 158 p.

http://www.editions-persee.fr/catalogue/ - 14€20

 

A la fois biographie et essai, ce texte comporte deux parties :

     - la biographie proprement dite résume mon parcours de 50 ans dans le domaine de l'environnement.

     - le message lui, est une synthèse qui a pour but d'esquisser selon quelques grands thèmes (climat, biodiversité, ressources, économie et gouvernance) une vision du monde à reconstruire.

 

A paraître dans quelques jours seulement et réserver dès maintenant dans toutes les bonnes librairies.

 

Extrait :

Le futur se construit inévitablement avec des exemples qui sont autant de pistes pour redéfinir les objectifs de l’économie. Par exemple l’économie positive, si chère à Jacques Attali, vise à servir les intérêts des générations à venir plutôt que ceux des actionnaires à court terme… L’échange gratuit d’informations lié aux nouvelles technologies contribue de fait à l’émergence d’une économie de la gratuité. Cette libération de l’information est une rupture culturelle qui bouleverse le monde du travail en remettant en cause les principes de propriété et d’autorité. Simultanément la relation au temps évolue avec un souci de plus en plus prononcé d’utiliser son temps pour la création sous toutes ses formes. Une nouvelle conception du travail apparaît avec un fort souci du contenu, créateur et valorisant.

Il émerge maintenant une consommation collaborative, en plein essor, qui s’appuie sur des pratiques de partage et d’échange de biens ou de services, entre particuliers. Il existe ainsi des supermarchés collaboratifs qui peuvent assurer des prix bas sur des produits de qualité grâce au bénévolat. Les « coopérateurs » doivent, en échange de cet avantage s’engager à donner trois heures par mois pour décharger les camions ou remplir les rayons, par exemple.

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